Soumis chez Martine
J’ai rencontré Martine au milieu des années 2000 via une annonce sur internet. Martine était un pseudo, se présentait comme dominatrice et je dois dire que notre première rencontre a été l’occasion de réaliser plusieurs fantasmes latents dans mon esprit depuis plusieurs années. A l’époque elle avait la cinquantaine, quelques rondeurs, une peau dorée très douce et des hanches larges comme souvent ont les femmes d’origine magrébine. Elle m’a mis à l’aise rapidement en m’offrant un café et en me demandant ce qui me ferait plaisir. Bien entendu elle était vénale mais ses tarifs étaient très correctes et abordables en ce qui me concerne. Me sentant en confiance je lui avouais que je voulais me faire fister et essayer l’uro. Elle me demanda de me déshabiller, me fit installer sur le lit pendant qu’elle projetait un film x sur un magnétoscope. Je n’avais que faire du film, mais cela participait à l’ambiance. Elle s’approcha de moi et commença à me caresser en me passant les mains sur la totalité de mon corps. Elle s’attardait parfois sur mon sexe et l’excitation était telle que j’ai bien cru que j’allais partir prématurément. Elle remarquait que j’étais totalement lisse et me demanda pourquoi. Je lui avouais que j’aimais mettre de la lingerie et me féminiser. Elle me répondit textuellement « Tu sais, la prochaine fois, il faudra que tu me montres ». Elle me fit mettre à quatre pattes sur son lit et s’attardait à me caresser les fesses avant de me mettre des claques de plus en plus soutenues. Puis j’ai eu droit à quelques coups de martinet. Je n’avais pas de très bon souvenirs de mon ******* quant au martinet, mais je dois avouer que j’y ai pris grand plaisir. Elle ponctuait parfois en passant les lanières entre mes jambes et la raie de mes fesses et la sensation était très agréable.
Elle s’absenta quelques instants pour revenir harnachée d’un gode ceinture que j’estimais à 5 cm de diamètre. Je restais en position levrette et après avoir lubrifié l’engin, elle le présenta face à mon cul et me pénétra sans trop de délicatesse. Elle ne me ménageait pas et me mettait des grands coups de butoir tout en me fessant et en me traitant de petite salope, ce qui n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. Elle se retira, se débarrassa du gode ceinture et mit des gants en latex. Je sentais qu’elle mettait du gel qui contrastait en température avec mon cul qu’elle avait bien chauffé.
Elle rentra assez rapidement trois doigts, puis quatre et je sentais qu’elle y joignais le pouce dans l’objectif de rentrer la main entière. Elle me demanda d’écarter les fesses avec mes mains et je la sentais ****** tout en tournant le poignet pour gagner à chaque fois un peu de terrain jusqu’au moment où je me suis senti envahi par sa main entière. Ce n’était pas douloureux, j’avais l’habitude de jouer avec des godes, mais je sentais que c’était plus gros que ce que j’avais l’habitude de prendre, surtout lorsqu’elle continua de pousser et que je sentais mon anus se refermer sur son poignet plus étroit. Je sentis à ce moment une sensation tout aussi étrange qu’agréable dans mon bas ventre. En regardant en direction de mon sexe ramolli, je voyais un long filet de liquide blanchâtre qui s’écoulait de mon méat. Elle me fit me retourner afin que je m’allonge sur le dos et constatant que je mouillais, elle me gratifia d’une fellation tout en me fouillant le cul avec sa main entière.
J’étais sur le point de jouir lorsqu’elle cessa de me sucer et retira son point de mes entrailles.
Elle posa ses fesses généreuses sur mon visage et me dit « Maintenant, tu vas t’occuper de moi ». Je la léchais sans retenue, j’enfonçais ma langue dans sa chatte pendant que le bout de mon nez était à l’entrée de son anus. Elle me pinçait les seins à me faire mal en les tortillant et en tirant dessus. « Branle-toi » me dit-elle jusqu’au moment où elle se lâchait dans ma bouche en me donnant son pipi chaud au goût salé par petite saccade. Je n’en perdait pas une goutte.
Elle me fit installer sur le sol avec une serviette éponge sous la tête et elle se vida complètement dans ma bouche en m’ordonnant de tout avaler. Une fois terminé, elle s’allongea sur le lit et me demanda de me branler sur sa chatte. Je n’ai pas mis longtemps à inonder son sexe de mon sperme par une éjaculation abondante. « Maintenant tu vas faire ma toilette et tout lécher ». Il est vrai qu’après avoir joui c’est moins stimulant mais je me suis exécuté docilement sans discuté pour finir par prendre goût au mélange des substances et la faire hurler de plaisir.
Elle s’absenta quelques instants pour revenir harnachée d’un gode ceinture que j’estimais à 5 cm de diamètre. Je restais en position levrette et après avoir lubrifié l’engin, elle le présenta face à mon cul et me pénétra sans trop de délicatesse. Elle ne me ménageait pas et me mettait des grands coups de butoir tout en me fessant et en me traitant de petite salope, ce qui n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. Elle se retira, se débarrassa du gode ceinture et mit des gants en latex. Je sentais qu’elle mettait du gel qui contrastait en température avec mon cul qu’elle avait bien chauffé.
Elle rentra assez rapidement trois doigts, puis quatre et je sentais qu’elle y joignais le pouce dans l’objectif de rentrer la main entière. Elle me demanda d’écarter les fesses avec mes mains et je la sentais ****** tout en tournant le poignet pour gagner à chaque fois un peu de terrain jusqu’au moment où je me suis senti envahi par sa main entière. Ce n’était pas douloureux, j’avais l’habitude de jouer avec des godes, mais je sentais que c’était plus gros que ce que j’avais l’habitude de prendre, surtout lorsqu’elle continua de pousser et que je sentais mon anus se refermer sur son poignet plus étroit. Je sentis à ce moment une sensation tout aussi étrange qu’agréable dans mon bas ventre. En regardant en direction de mon sexe ramolli, je voyais un long filet de liquide blanchâtre qui s’écoulait de mon méat. Elle me fit me retourner afin que je m’allonge sur le dos et constatant que je mouillais, elle me gratifia d’une fellation tout en me fouillant le cul avec sa main entière.
J’étais sur le point de jouir lorsqu’elle cessa de me sucer et retira son point de mes entrailles.
Elle posa ses fesses généreuses sur mon visage et me dit « Maintenant, tu vas t’occuper de moi ». Je la léchais sans retenue, j’enfonçais ma langue dans sa chatte pendant que le bout de mon nez était à l’entrée de son anus. Elle me pinçait les seins à me faire mal en les tortillant et en tirant dessus. « Branle-toi » me dit-elle jusqu’au moment où elle se lâchait dans ma bouche en me donnant son pipi chaud au goût salé par petite saccade. Je n’en perdait pas une goutte.
Elle me fit installer sur le sol avec une serviette éponge sous la tête et elle se vida complètement dans ma bouche en m’ordonnant de tout avaler. Une fois terminé, elle s’allongea sur le lit et me demanda de me branler sur sa chatte. Je n’ai pas mis longtemps à inonder son sexe de mon sperme par une éjaculation abondante. « Maintenant tu vas faire ma toilette et tout lécher ». Il est vrai qu’après avoir joui c’est moins stimulant mais je me suis exécuté docilement sans discuté pour finir par prendre goût au mélange des substances et la faire hurler de plaisir.
1 year ago